Impression 3D & réparation : la nouvelle vie des objets du quotidien

Technologies et matériaux recommandés pour la réparation 3D

Quand il s’agit de réparer un objet cassé grâce à l’impression 3D, le choix de la technologie et du matériau est crucial. Selon la fonction de la pièce, sa taille, son exposition à la chaleur ou aux efforts mécaniques, la stratégie ne sera pas la même. Voici quelques conseils pratiques issus de mon expérience à l’atelier Figiko.

FDM : la solution polyvalente du quotidien

  • PLA : facile, économique, idéal pour caches, boutons, supports esthétiques.

  • PETG : résistant + légèrement flexible. Parfait pour des charnières ou pièces techniques.

  • ABS : robuste et résistant à la chaleur, idéal pour objets sollicités ou extérieurs.

  • ASA :  polymère thermoplastique proche de l’ABS, mais avec une meilleure résistance aux UV et aux intempéries et contraintes mécaniques. Il a été conçu pour l’extérieur.
  • Fibre de carbone : Ce sont des filaments standards chargés de fibres de carbone courtes (5–15 %) pour améliorer la rigidité, réduire le poids et la déformation thermique.

Exemple : une attache de trottinette refaite en PETG renforcé, toujours fonctionnelle après 6 mois.

SLA : la précision ultime

Pour les petites pièces détaillées : engrenages, clips, pièces visibles.
Utiliser des résines techniques pour plus de résistance.

SLS : performance et durabilité

Pour les pièces complexes ou mécaniques en nylon (PA12) :
support de vélo, adaptateurs techniques, clips solides et souples à la fois.

Bien choisir son matériau

Selon l’usage :

  • Résistance thermique → ABS, PETG, ASA

  • Résistance mécanique → SLS, ABS, ASA

  • Flexibilité → TPU, PETG Esthétique fine → SLA

► Pour plus de détails sur les matériaux : Technologies d’impression 3D adaptées au sur-mesure
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